dimanche 31 janvier 2010

Sur la réduction du temps de travail.

Ce numéro de Insee Première paru en Janvier 2010 revient sur "60 ans de réduction du temps de travail dans le monde" en insistant sur le rôle de la salarisation et de la progression des temps partiels dans cette tendance.

jeudi 28 janvier 2010

Croissance verte et emploi.

Voici une Note de Veille parue le 28 Janvier 2010 : "La croissance verte: quels impacts sur l'emploi et les métiers ?". Une analyse qui apporte des éléments de réflexion sur plusieurs chapitres.

lundi 25 janvier 2010

Sur la dette Grèce...

Voici un document du Crédit Agricole paru en Janvier 2010 qui fait le point sur la situation Grecque et les modalités de la réduction de ses dépenses publiques.

samedi 23 janvier 2010

Relocalisations : une bulle médiatique ?

Juste une petite chronique sur le site d'Olivier Bouba-Olga, notre économiste pictavien, c'est amusant vous verrez...

mercredi 20 janvier 2010

Sortie de crise à risque pour les banques centrales.

Un article des Echos paru le 18 Janvier revient sur les enjeux d'une nécessaire baisse des liquidités mises en circulation par les Banques Centrales pour faire face à la crise.
Cette réflexion s'accompagne bien sûr de celle sur l'endettement des Etats. Voici un point sur l'endettement privé et public américain fait par la Société Générale en Décembre 2009 : "mesures du leverage d'une économie : où en sont les Etats-Unis ?"

vendredi 15 janvier 2010

Une lecture marxiste de la crise par...Natixis.

Patrick Artus présente dans son dernier Flash Economie une interprétation de la crise qui s'appuie sur les observations suivantes :

• il y a excès mondial de capacité de production, dû essentiellement à la globalisation et à l'investissement très important dans les pays émergents.

• l'excès de capacité devrait normalement faire baisser la profitabilité des entreprises ; en réaction à cette évolution, les entreprises ont essayé de réduire les salaires, d'où, dans beaucoup de pays, le recul de la part des salaires dans le PIB, qui amplifie l'insuffisance de la demande par rapport à la capacité ; elles essaient aussi de devenir leader dans leur activité pour bénéficier de marges d'oligopole.

• l'excès de capacité de production pousse les Etats à mener des politiques non coopératives visant à accroître le taux national d'utilisation des capacités: stimulation du crédit par les politiques monétaires très expansionnistes (d'où les bulles spéculatives sur les prix des actifs, l'excès d'endettement et les crises) ; sous-évaluation du taux de change dans les pays émergents.

Il s'agit bien d'une lecture marxiste (mais conforme aux faits) de la crise: suraccumulation du capital (par "l'euphorie" des entrepreneurs) d'où baisse tendancielle du taux de profit ; réaction des entreprises à cette baisse du taux de profit par la compression des salaires, du capital, la concentration et l'obtention de rentes, d'où sous-consommation ; réaction, qui ne peut pas être efficace à long terme, des Etats par le développement du crédit et des activités spéculatives, comme substituts (palliatifs) à l'insuffisance de la production ; par le recours au commerce extérieur.

mercredi 13 janvier 2010

Un bilan de Copenhague.

Voici la dernière Note de Veille datant du 11 Janvier 2010, "Copenhague ou la nouvelle donne climatique internationale ?". Il revient sur le demi-succès ou le demi-échec du sommet de Copenhague, sur le nouveau dialogue ou duel sino-américain et l'affaiblissement du leadership dans la lutte contre le changement climatique. En voici le résumé :

"Au-delà des attentes suscitées tout au long de l’année 2009 par le sommet de Copenhague et des déceptions qu’elles ont engendrées, la conférence a conduit à deux résultats qui marqueront l’histoire de la lutte contre le changement climatique : l’implication forte dans la mise au point de l’accord de Copenhague non seulement des deux principaux émetteurs de gaz à effet de serre que sont la Chine et les États-Unis, mais aussi des pays émergents (Afrique du Sud, Inde, Brésil), ainsi que la main tendue aux pays en développement. Ainsi, dans un monde multipolaire de plus en plus complexe, les acteurs majeurs dans la lutte contre le changement climatique sont désormais associés à la coopération internationale. Le prix à payer pour l’intégration de ces nouveaux entrants a résidé à Copenhague dans « l’oubli » du Protocole de Kyoto : il appartient maintenant aux pays historiquement engagés dans la lutte contre le changement climatique de décliner l’accord de Copenhague mais aussi de le réconcilier avec les acquis du Protocole de Kyoto. Tel pourrait être le sens de l’engagement européen durant l’année 2010. Il serait sans nul doute soutenu par la société civile. "

mardi 12 janvier 2010

Sur le multiplicateur de crédit.

Le multiplicateur de crédit peut être défini comme le rapport existant entre l'augmentation de la monnaie banque centrale nouvelle, émise par la banque centrale et la quantité issue du crédit accordé par les établissements de crédits à la suite de cette augmentation.

Voici une explication assez claire de ce phénomène de multiplication du crédit développé dans cet article universitaire paru dans la Revue économique en 1962 qui fait une présentation  très lisible et illustrée par des exemples pertinent. Il analyse aussi les limites du mécanisme du multiplicateur du crédit : "Création de monnaie et multiplicateur de crédit".

samedi 9 janvier 2010

PME et innovation.

Vous trouverez dans cette note de Veille du Centre d'analyse stratégique, "Les entreprises de taille intermédiaire, un potentiel d'innovation à développer ?", des éléments pour compléter la réflexion menée sur le sujet relatif aux PME lors du dernier concours blanc.

mardi 5 janvier 2010

Dette souveraine et agences de notation.

Pour compléter le cours sur les fonctions des agences de notation et aborder des éléments de débat du chapitre 9 sur l'Europe Monétaire, voici une brève de l'OFCE "La dette souveraine française et les agences de notation : la France en sursis ?" Un autre article de Télos prolonge l'analyse sur les agences de notation en revenant sur la situation de la Grèce "Soleil noir sur la Grèce".
Pour compléter la réflexion, voici un article de Telos, "Que faire pour les Etats surendettés de la zone euro ?" qui s'interroge sur les moyen d'éviter une destabilisation de l'ensemble de la zone euro du fait du fort endettement des Etats-membres compte tenu du fait que la solution de l'exclusion d'un Etat de la zone euro n'est pas acceptable.

dimanche 3 janvier 2010

La "perte sèche" de Noël.

Vous trouverez sur le blog "Rationalité limitée" un article qui vous replongera dans l'analyse microéconomique : "Noël et la coévolution institutions/préférences".
Preuve que vos parents sont rationnels en vous donnant de l'argent...