lundi 6 mai 2013
La BCE peut plus mais pas tout...
Voici un article très intéressant de Charles Wyplotz sur Télos. A lire avec attention.
vendredi 3 mai 2013
Le plus petit film du monde: "le garçon et son atome".
Rien à voir avec l'économie très directement, mais regardez cela, c'est surprenant...une petite pause au milieu des concours.
jeudi 2 mai 2013
Qui détient la dette publique ?
Voici la dernière Econote de la Société Générale. En voici la présentation : En
réponse à la crise financière internationale de 2008, les grands pays
de l’OCDE ont mis en place des plans de soutien massifs à l’économie
qui, conjugués à la récession, ont fortement détérioré leurs finances
publiques, entraînant une explosion des dettes publiques.
Aujourd’hui, face à des besoins de financement considérables, ces pays s’interrogent sur leur capacité à conserver une large base pérenne d’investisseurs, afin de préserver des conditions de financement compatibles avec la « soutenabilité » de leur dette publique. Pour tenter d’apporter des éléments de réponse à cette question, nous nous proposons d’examiner la structure de détention des dettes d’États des grands pays industrialisés, en nous efforçant de comprendre les ressorts de la demande de titres.
Au cours des décennies précédant la « Grande Crise », les investisseurs non-résidents ont généralement joué un rôle croissant dans le financement des dettes d’États dans un contexte de globalisation financière et de larges déséquilibres des balances de paiement courantes. Le Japon, cependant, où l’essentiel de la dette reste détenu par les résidents, a fait figure d’exception notable.
Depuis l’éclatement de la crise, trois évolutions principales se sont faites jour : 1) des achats massifs de dette d’État domestique par les grandes banques centrales, 2) un mouvement de repli des investisseurs sur les dettes d’États considérées comme les plus sûres, et 3) un phénomène de « renationalisation » de la détention des dettes, particulièrement dans la zone euro.
Aujourd’hui, face à des besoins de financement considérables, ces pays s’interrogent sur leur capacité à conserver une large base pérenne d’investisseurs, afin de préserver des conditions de financement compatibles avec la « soutenabilité » de leur dette publique. Pour tenter d’apporter des éléments de réponse à cette question, nous nous proposons d’examiner la structure de détention des dettes d’États des grands pays industrialisés, en nous efforçant de comprendre les ressorts de la demande de titres.
Au cours des décennies précédant la « Grande Crise », les investisseurs non-résidents ont généralement joué un rôle croissant dans le financement des dettes d’États dans un contexte de globalisation financière et de larges déséquilibres des balances de paiement courantes. Le Japon, cependant, où l’essentiel de la dette reste détenu par les résidents, a fait figure d’exception notable.
Depuis l’éclatement de la crise, trois évolutions principales se sont faites jour : 1) des achats massifs de dette d’État domestique par les grandes banques centrales, 2) un mouvement de repli des investisseurs sur les dettes d’États considérées comme les plus sûres, et 3) un phénomène de « renationalisation » de la détention des dettes, particulièrement dans la zone euro.
mercredi 1 mai 2013
Dynamique des salaires en temps de crise.
Une note importante du Conseil d'Analyse Economique qui fait le point sur beaucoup de notions.
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